Chers Amis et Chers Enfants Boker Tov ,
Ce n'est pas « la semaine de la colère »,mais ce sujet nécessite qu'on y revienne car les temps sont durs,et on aurait tendance à vite s'emporter,
Non ?...
Chacun devrait faire un effort pour déterminer les éléments personnels qui déclenchent sa colère.
La présence d’une personne, certains sujets de discussion, peuvent par exemple susciter notre irritation. Il faut donc s’y préparer en conséquence, se raisonner…
Nos maîtres invoquent même la notion de « temps de colère », des moments dans notre vie plus propices à la laisser éclater !
Après une longue journée de travail par exemple, ou lorsque nous sommes affamés, là aussi il convient d’éviter tout sujet de discorde.
Ceux parmi nous qui atteignent un niveau élevé dans leur foi en D.ieu savent que les événements contrariants ne sont là que pour nous défier, alors relevons le défi sans nous emporter car ce serait s’opposer aux projets divins, non ?
De plus, nous avons une autre conviction, c’est que dans toute chose il y a un aspect négatif et un aspect positif. Autant s’efforcer à voir le verre à demi-plein que celui à demi-vide.
Nos sages affirment qu’il ne faut jamais regarder un homme en colère. On pourrait, malgré nous, s’y identifier ! Vous savez c’est comme voir quelqu’un bailler et être pris – instinctivement – par une envie irrépressible d’en faire de même.
Nous devons apprendre à devenir patients, c’est-à-dire à nous contrôler, à voir dans l’autre le positif, cela nous rendrait plus tolérant.
Enfin, nous devons être, en toute circonstance, exigeants avec nous-mêmes et indulgents avec les autres…
(Et surtout non l’inverse !)
Attitude fondamentalement juive.
Alors ...
Courage,CALME et de bonnes nouvelles bh
GZ
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