Depuis 2 ans notre établissement a l’honneur et le plaisir de participer à l’action ô combien louable de cette association.
Nos élèves contribuent avec conviction, enthousiasme et abnégation à cette œuvre dont le noble objectif est conforme aux valeurs du ‘hessed et de la solidarité aussi précieuses que nécessaires.
Cela sous la conduite de l’exceptionnelle Shirel Haddad.
« S’épauler pour grandir ensemble… », telle est la devise de l’association.
Cette année les bénévoles sont encore plus nombreuses pour vous aider:
alors que l’année dernière elles étaient une vingtaine - dont 15 du Gan Ami -,
aujourd’hui Ani Véata existe grâce à la cinquantaine de jeunes filles
- désormais 30 tsadkkanioth de notre école !
- qui décident de prendre du temps pour aider vos enfants à s’épanouir!
En choisissant de devenir « tutrices », les jeunes filles soutiennent les enfants…
ainsi que leurs parents, puisque: un enfant plus confiant, c’est un parent plus souriant!
Toutes les volontaires supplémentaires, d’où qu’elles viennent, sont les bienvenues !
Si vous avez des garçons entre le CP et le CM2 ou des filles entre le CP et la 3ème ,
quel que soit leur établissement d’origine, alors l’association Ani Véata est faite pour vous !
Elle peut vous aider!
Il ne vous reste qu’une chose à faire:
Contacter Shirel Haddad, la fondatrice de Ani Veata, au 06 20 38 08 49.
Puisse Hachem accorder pleine réussite et succès à cette association, sa directrice, ses bénévoles,
et ses bénéficiaires, Amen.
Puisse-t-Il ainsi, par leur mérite, hâter la venue du Machia’h, Amen Véamen !
Chers Amis et Chers Enfants,
L'histoire providentielle et bien évidemment vraie ci-dessous est volontairement écrite à la première personne ...Partagez autour de vous,cela peut grandement servir ...
« Je suis âgé de 28 ans et marié depuis peu. Le plus souvent je sillonne les rues de Jérusalem, vous l’avez compris, je suis un chauffeur de taxi.
Ce n’est pas un métier facile car, le plus souvent, je suis en quête de clients…
Sans compter que la conduite de mes compatriotes israéliens m’impose un niveau de vigilance au volant presque comparable à celui requis au pilotage d’un Boeing.
Généralement les clients sont agréables et généreux, mais il peut aussi arriver que je sois confronté à la mauvaise humeur de certaines personnes.
Que vous dire de plus sinon que malgré tout j’aime mon travail !?
Ce jour-là, je suis contacté par un client qui souhaite que je le conduise à Haïfa.
Dans notre jargon professionnel on appelle cela « un bonbon », une course intéressante sur un plan pécuniaire.
Nous quittons donc Jérusalem pour Haïfa sous un soleil hivernal bienveillant… Je dépose mon client à l’adresse qu’il m’indique et je décide de m’octroyer une petite pause, le temps de prendre un bon café ressourçant.
Mon regard est attiré par une affiche nécrologique (c’est courant en Israël) qui annonce la disparition de SHOSHANA RAHMINOV.
Je ne connais personne à Haïfa, mais ce nom m’interpelle….
Sur l’affiche il est mentionné l’adresse de la famille…
Je remonte dans mon taxi, décidé à rejoindre rapidement les miens à Jérusalem, je roule quelques centaines de mètres, et mécaniquement, je rebrousse chemin afin de nouveau scruter cette affiche.
Je prends note de l’adresse, et aussi « mécaniquement » que précédemment je m’y rends.
Je suis devant un vieil immeuble, descendre de ma voiture ou pas ? De façon irrésistible, porté par mes pieds, je me dirige vers l’appartement, non sans appréhension car on me questionnera sans doute, et que pourrais-je alors répondre ?
Je pénètre dans l’appartement où un silence pesant règne, les gens sont assis sur un tapis en signe de deuil…
Deux personnes qui viennent d’arriver échangent à voix basse avec ceux qui doivent être les enfants de la défunte…
Je me résous à prononcer la phrase d’usage et je me lève…
- « Bonjour, vous avez peut-être connu ma mère ? »
De façon spontanée, j’explique que je suis là par hasard, mon métier, ma vie à Jérusalem.
- « Ma mère était une femme exceptionnelle… Depuis 27 ans, en dépit de son travail, elle n’a eu de cesse d’aller au chevet d’enfants accidentés de la route, leur apportant un peu de lumière et de réconfort dans leur lit d’hospitalisation ».
Emu, je me dis que j’ai bien fait de me laisser transporter jusqu’ici car SHOSHANA était une grande dame.
Je salue tout le monde et je rentre chez moi.
becedaireSur le chemin du retour, quelque peu perturbé par ce qui m’est arrivé ce matin, je m’arrête chez mon père qui est veuf depuis longtemps…
Je lui raconte mon aventure et, toujours égal à lui-même, il me dit : « mon fils, le hasard n’existe pas. Si tes jambes t’ont inspiré pour te rendre auprès de cette famille c’est qu’il doit exister une raison que découvriras d’ici peu ».
Je garde cela quelque part dans mon cœur…
Deux jours plus tard, je suis appelé par la centrale de taxi qui m’emploie :
- « Il y a quelqu’un qui te cherche, il s’appelle David RAHMINOV, il insiste, je te transfère l’appel… »
C’est le mari de la pauvre SHOSHANA qui semble très ému :
- « Dis-moi, as-tu été victime d’un accident de la route ? »
Là, c’est très fort pour moi, je suis saisi, presque choqué.
- « Oui, j’avais un an lorsqu’une voiture nous a heurtés ma mère et moi. Elle est morte.»
- « Mais sais-tu où cela s’est passé précisément ? »
- « Oui, au coin de la Rue David »
Et là un silence sur la ligne …. La voix tremblante de David RAHMINOV poursuit :
- « Tu n’es pas venu par hasard jusqu’à nous. C’est SHOSHANA mon épouse qui était la première à vous porter secours. Et c’est d’ailleurs à partir de ce jour qu’elle prit sur elle de visiter les enfants accidentés et hospitalisés… »
Est-il nécessaire que je vous décrive mon émotion ?
Hasard ou Providence ?
Je vous le demande.
GZ
Chers Amis et Chers Enfants Boker Tov,
Moïse notre Maître a connu l'épreuve de la contestation et de la division ...
Korah s'est élevé contre lui publiquement entraînant dans son sillage deux
autres personnages Datan et Aviram .
Tous trois le dénigrèrent et fomentèrent une insurrection contre lui : ils
furent bientôt suivis de 250 notables .
Néanmoins et bien qu'il ait pu les laisser à leur sort tragique,il est
écrit dans le texte que "Moïse se leva pour les raisonner" ...
Le verbe "se lever" interpelle nos sages qui en déduisent le principe
suivant :celui qui est humilié,blessé et contesté en obtempérant s'assure
une ascension,une réussite ...d'où le verbe "se lever" .
Le "Or Haïm" (XVIIe siècle-Rabbi Haïm Ben Attar) affirme :
-Qu'en toute circonstance,si l'on est heurté,on doit s'efforcer
de renouer avec celui qui nous a blessé.
-Que Cette épreuve d'humiliation est annonciatrice d'une
ascension,de quelque chose de positif dans notre vie.
Alors la prochaine fois que quelqu'un s'adresse à nous agressivement
ou pire qu'il nous vexe et remette en cause notre probité,prenons
sur nous,ne répliquons pas car tout de suite après,nous connaîtrons une
embellie dans notre vie .
Un bon "deal" comme on dit,non ?
Courage et Bonne journée,
GZ
Dans ce cours le Rav parle de l'importance de l'accomplissement des Mitsvots de Ben Adam Lah'avéro, dont celle de la Tsédaka.
Le Rav explique en quoi la Mitsva de Tsédaka est tellement importante et a tant de pouvoir pour entre autre nous ajouter des mérites fous pour Roch Hachana.
Bonne écoute à tous!
Chana Tova!
Source:TORAHACADEMY
Chers Amis et Chers Enfants Boker Tov,
A y réfléchir,il y a dans la vie de l'humain il y a 3 grandes étapes :
1°) La Maison
Le lieu où il a grandi,où pour l'essentiel il a reçu de tout et sans payer.
Ses parents lui ont tout acheté,l'ont nourri,l'ont habillé sans contrepartie,et
bien souvent sans reconnaissance de sa part.
2°)La Société
L'humain adulte part à la conquête de sa vie,tout s'inverse :lui qui était passif
doit devenir actif car sans cela il n'obtiendra rien.S'il est paresseux il sera licencié,
s'il est effronté il sera sanctionné.
3)Le Mariage
La troisième étape consiste à fonder un foyer,sa propre maison,et là intervient
le dilemme: le mariage est-il lié à la première étape de "la maison" ou à la deuxième
étape "la société" ?
Les problèmes de couple découleraient le plus souvent du fait que l'on aspire (en particulier chez les hommes) à revenir à une forme de passivité que l'on a connu dans "la maison'"où "maman" veillait à tout et gratuitement...
C'est un travail aussi nécessaire que laborieux-pour nous hommes-que de comprendre et d'intégrer que l'ultime étape est à connecter avec celle de "la Société"où nous devons être actifs,créatifs...Donner et moins recevoir ...Non ?
Courage et Bonnes nouvelles.
GZ
Les secrets du Chofar
Visite guidée chez un fabricant de Chofar.
Comment fabrique t-on un Chofar ?
Une transmission de père en fils ?
SOURCE: UNIVERS TORAH
Chers Amis et Chers Enfants Boker Tov,
Les gens pensent être plus malins que les autres en les trompant,ils ne comprennent pas que ce seront eux les grands perdants ...
Dans le même registre,on peut consciemment ou inconsciemment s'en prendre à autrui par jalousie ou par sentiment de revanche et vengeance,mais le véritable perdant d'une telle attitude est son auteur .
La rancune,la colère sont des sentiments nocifs pour soi-même.
C'est un poison qui peut entraver notre marche dans la vie.
C'est pourquoi il faut se répéter que personne ne mérite que pour lui,on pollue notre vie,particulièrement celui qui vous
aurait causer du tort.
Il faut considérer que ce qui est arrivé de désagréable devait arriver...
Quant au futur,nous avons encore la possibilité de faire de bons choix
sans jamais présager de ce que D.ieu lui en fera ...
Patience et foi en LUI nous permettront en toute circonstance de prendre de la hauteur,non ?
Courage et Bonnes nouvelles.
GZ
Chers Amis et Chers Enfants Boker Tov,
RONY est né dans une famille non seulement laïque mais antireligieuse…
Dès l’âge de 15 ans, RONY suivit une formation pour devenir coiffeur. Sa réussite fut fulgurante, en quelques années il devint le coiffeur des célébrités : chanteurs, journalistes, acteurs et j’en passe.
Il se maria à l’âge de 22 ans, au sommet de sa gloire. Matériellement il ne manqua de rien, au contraire il vécut dans l’opulence et dans le luxe.
Quelques années plus tard alors qu’il venait de célébrer son 27ème anniversaire, et la naissance de son second enfant, il fit un rêve qui le troubla profondément.
Dans son rêve, marchant dans la rue, il voit soudainement apparaître un nuée lumineuse à travers de laquelle sort un vieil homme à la barbe blanche et aux yeux éclairés.
Cet homme invite RONY à lui rendre visite chez lui, pour lui prodiguer quelques conseils.
Surpris, RONY le prie de bien vouloir lui décliner son identité, son adresse. Le vieil homme lui communique son nom et son adresse avant de disparaître…
A son réveil, RONY est sous le charme du visage éblouissant qui s’est révélé à lui… Il se dit qu’il s’agit d’un simple songe et se dirige vers son salon de coiffure…
Il est accueilli par sa sœur GALITH, les clients sont déjà nombreux…
Il s’apprête à inviter l’une des personnes à rejoindre son fauteuil, quand il est pris d’un étourdissement, il entend une voix, celle du rêve.
- « RONY, pas de crainte, je veux te rencontrer »
Les clients présents, sa sœur, l’entendent parler, répondre :
- « Mais je viendrai, oui je viendrai »
Sa sœur est inquiète et le pense surmené, lui conseille d’aller voir un médecin.
RONY n’écoute que son cœur, il quitte le salon sans un mot et déambule dans les rues avoisinantes avant de se résoudre à se rendre à l’adresse que le vieil homme lui avait indiquée lors de ce rêve si bizarre…
Une heure plus tard, il est devant la porte d’un appartement plutôt modeste. Il est accueilli par un jeune homme qui du doigt lui signifie qu’il devra attendre son tour. Et voilà que le Rav arrive, en voyant RONY il esquisse un grand sourire comme s’ils se connaissaient depuis longtemps…
Puis s’adressant à RONY, il ne finit pas de le surprendre :
- « RONY BEN HAIM, je t’attendais et que soit heureuse celle qui a pu te donner naissance… »
- « Vous connaissez mon nom, de même que celui de mon père !? »
- « Pourquoi réfléchis-tu tant ? Vois-tu RONY, j’ai fais un rêve où je t’ai vu te promenant au … paradis ! »
- « Mais, vous devez vous tromper, excusez-moi, je suis à mille lieux du judaïsme, ce n’est pas possible »
- « Non, mon enfant, aucune erreur, dans mon rêve un ange est venu vers toi avant de t’envelopper d’un châle blanc, tu es estimé là-haut. Va en paix. »
Abasourdi, RONY marque le pas avant de lancer une question :
- « Vous appelez-vous SHALOM ? »
La réponse fuse :
- « OUI ! »
- « Mais est-il possible que j’ai moi aussi dans un rêve entendu parler de vous ?
- « Oui, mon enfant, rentre chez toi à présent, tu n’as rien à craindre… »
RONY est reçu par son épouse et sa sœur qui semblent comme préoccupées par son état. Sa sœur lui rappelle son comportement pour le moins étrange du matin. Il ne les rassure qu’à moitié…
Cette nuit là RONY ne trouve pas le sommeil. À trois heures du matin, il se rend chez le Rav SHALOM, il le trouve sortant de chez lui, thermos à la main, de même que son vieux livre de prières à la main :
- « Où vas-tu comme cela mon enfant ? »
- « Je veux prier »
- « Mais, ce n’est pas encore l’heure, mon enfant. Alors si tu veux te joindre à moi, nous allons étudier… »
Et c’est ainsi que RONY s’es mis à étudier toutes les nuits et durant six mois.
Durant cette période RONY ne changea pas ses habitudes : il travaillait quotidiennement dans son salon sans même porter de Kippa, son Shabbat était un jour profane.
Un vendredi soir, RONY rentre chez lui après le début de Shabbat, il prend sa douche puis s’installe devant son téléviseur.
Soudain, il se sent comme saisi d’une décharge électrique, il ne peut plus bouger…
Son épouse s’en rend compte :
- « Qu’as-tu ? »
- « Je ne peux plus bouger »
S’ensuit une panique indescriptible. Elle lui renverse de l’eau sur la tête, appelle au secours. Au milieu de cette tourmente, RONY voit apparaître devant lui le RAV… Il est le seul à le voir.
- « Shabbat Chalom, mon enfant, pas de crainte… »
- « Pourquoi suis-je paralysé »
L’épouse de RONY le voit et l’entend parler dans le vide, elle ne peut imaginer ce que lui vit…
RONY ajoute :
- « Je fais le vœu de respecter le Shabbat durant un an. »
A peine prononce-t-il le dernier mot qu’il retrouve ses capacités physiques.
L’épouse de RONY abasourdie par la promesse de RONY qu’elle a entendue, par sa curieuse attitude, exige que celui-ci consulte un psychiatre. RONY refuse et réitère son engagement relativement au Shabbat.
Des semaines de tension extrême se succèdent et risquent désormais de déboucher sur un divorce.
Un jour, alors que RONY est auprès de Rav SHALOM, son fils âgé de 6 ans se présente :
- « Maman t’attend dans la voiture ! »
Le Rav SHALOM regarde l’enfant, le saisit par le bras avant de faire tourner une pièce d’argent autour de sa tête.
RONY ne comprend pas, le Rav lui explique alors qu’il vient de consacrer cette pièce à la Tsedaka afin que l’enfant soit protégé.
Le soir-même, alors que l’enfant s’apprête à rejoindre ses camarades, il fait une chute terrible dans l’escalier. Plusieurs mètres dévalés en quelques secondes interminables.
La maman et les voisins, témoins de cette scène, hurlent de désespoir.
La maman racontera qu’en un instant, dans son cœur, elle put s’adresser au Tout Puissant, lui promettant de ne plus faire opposition entre Lui et son mari.
L’enfant sortira indemne de cette chute, il racontera à sa maman :
- « Maman, c’est le Rav de papa que j’ai vu en tombant, il m’a entouré de ses bras avec un grand sourire, en me rassurant… »
Hasard ou Providence ?
Je vous le demande.
Courage et Chabbat Chalom
GZ
Chers Amis et Chers Enfants Boker Tov,
Il y a une notion dans le judaïsme qui est réservée à une catégorie de juifs pratiquants.
Le fait de s'imposer plus encore que ce qu'exige la Mitsvah , en hébreu , cela s'appelle « HOUMRA », la traduction inutile serait « sévérité ».
Généralement les « HOUMROT (au pluriel) peuvent nourrir davantage la crainte de D.ieu.
Ceux qui adoptent ce principe sont plus sensibles à la réhabilitation de la Mitsvah et peuvent atteindre des sommets spirituels.
Nos Maîtres mettent cependant en garde le peuple, cette pratique ne peut concerner tout le monde, et c'est au cas par cas que l'on peut déterminer si cela vous convient.
L'un des élèves de Rav Brisck était à la fois brillant dans ses études et fervent dans la pratique des Mitsvoth. Il demanda un jour audience à son maître pour lui formuler une demande peu commune :
- « Maître, j´aimerais accueillir le Chabbath dès la mi-journée le vendredi, et ce afin que le Chabbath soit plus long et spirituellement profitable pour moi »
Le Rav réfléchit de longues minutes avant de répondre :
- « Mon cher élève, je suis d'accord à une condition : c'est qu'en faisant entrer le Chabbat si tôt, tu ne considère pas tous ceux qui sont autour de toi comme profanateurs du Chabbath ».
L'élève comprit bien vite l'allusion du maître et se retira en renonçant à son idée.
On voit souvent des gens qui cherchent à faire plus encore que la normale quand il s'agit de loi juive... Mais attention à ne pas le faire au détriment de l'essentiel : la considération des autres, Non ?
Courage et Bonne journée,
GZ